Les 3 raisons de préférer le statut freelance au CDI
Le travail en freelance représente pour bon nombre de cadres des avantages certains. Et ce n’est pas forcément l’argument du salaire qui arrive en premier. Les trois raisons principales invoquées par les cadres salariés sont les suivantes :
1/ Disposer de son libre arbitre en freelance
Les cadres souhaitent être libres de choisir leurs sujets, leurs contrats, leurs missions les entreprises avec lesquelles ils vont travailler tout comme les personnes avec qui ils vont nouer des relations commerciales et professionnelles. Ce libre arbitre s’exerce aussi dans le choix de cesser une collaboration qui ne correspond plus à leurs attentes.
2/ En freelance, fini, le management du « petit chef »
Les méthodes de managements toxiques, les injonctions contradictoires, la pression des chiffres imposée par la hiérarchie… voilà ce dont beaucoup de cadres en CDI ne veulent plus, et qu’ils recherchent dans le statut freelance. Le salarié qui, en entreprise, obéit sans avoir son mot à dire : cela ne correspond plus aux aspirations actuelles.
3/ Grâce au freelance, maîtriser l’équilibre entre vie pro et vie perso
C’est la troisième raison qui pousse les cadres en CDI à se tourner vers le statut de freelance, afin de maîtriser leur temps comme ils l’entendent, rejoignant ainsi leur volonté de disposer de leur libre arbitre. Des contraintes, oui, mais choisies, telle est la promesse à laquelle aspirent les freelances.
Si la période post Covid a fortement amplifié ces aspirations, le contexte actuel incite néanmoins les cadres à plus de prudence, les poussant davantage à miser sur la sécurité du salariat en CDI.
Travailler en Freelance ou en CDI : de la théorie à la réalité
Mais dans les faits, en étant freelance plutôt qu’en CDI :
- Peut-on dire stop à l’un de ses clients importants, et donc aux revenus qu’il génère, alors qu’il faut faire face aux traites de remboursement d’emprunt immobilier, aux frais d’études des enfants ?
- En tant qu’indépendant en freelance, peut-on réellement se permettre de choisir ses clients ou de refuser un contrat lorsque l’offre est moins forte ?
- En tant Directeur externalisé au sein d’une PME et en ligne directe avec le dirigeant de l’entreprise, est-on réellement à l’abri de toute dérive autocratique ?
- L’équilibre vie pro, vie perso est-il réellement trouvé en freelance, lorsque l’on est sans cesse au travail ? Est-on libre de trouver l’équilibre, ou plutôt libre de travailler tout le temps ?
- Sans salaire fixe, comment un indépendant peut-il garantir des revenus d’activité stables, dans un contexte socio-économique traversé par des crises perpétuelles ? Et sans une bonne complémentaire, les cotisations des freelances suffisent-elles à sécuriser leur retraite ?
Intégrer les aspirations profondes des cadres : libres et en CDI
Pour le Groupe Référence, le sujet du statut freelance ou de salarié CDI des collaborateurs n’est pas nouveau. Au contraire, il fait partie intégrante, depuis des années, de la réflexion stratégique. En effet, le Groupe Référence externalise les fonctions vitales des PME en mettant à leur disposition des Directeurs experts, en temps partagé augmenté, sur des fonctions de direction Informatique, direction financière, direction des Ressources Humaines et direction Digitale Marketing.
Nos directeurs sont pour certains indépendants en freelance, et pour beaucoup salariés en CDI. Nous leur laissons le choix. Ils sont nombreux à commencer la collaboration en freelance, puis, séduits par notre modèle, signent un contrat de salarié en CDI. Pourquoi ? Parce que nous répondons aux aspirations profondes de nos collaborateurs. Et nous l’avons compris et intégré depuis longtemps.
1/ Nos directeurs en CDI sont autonomes et indépendants
Le libre arbitre est au cœur de nos modes de fonctionnement. Chacun de nos directeurs en Temps Partagé Augmenté disposer d’une « bulle d’autonomie », organisant son travail au quotidien en toute liberté. 5 jours par mois chez un client A, 6 chez un client B, 8 chez un client C… en menant plusieurs missions de front, nos directeurs sont libres de planifier leurs interventions chez chacun d’eux. Bien sûr, en tenant compte des échéances et des impératifs de réunion client, exigences auxquelles tout indépendant est aussi confronté.
2/ Nos directeurs ont le droit d’être lassés de leurs clients
Avec les clients, les organisations, la « phase de lassitude », nous connaissons tous : au bout d’un certain temps, quel que soit le contexte, nous éprouvons le sentiment d’avoir fait le tour de la question. Difficile parfois d’apporter des idées neuves ou de supporter certains petits travers qui deviennent, avec le temps, plus difficiles à supporter. Au sein du groupe Référence, nous avons créé une méthodologie pour la détecter et la gérer. Nous ne laissons pas s’installer cette phase de lassitude et organisons un changement d’interlocuteur, une fois qu’elle est détectée. Il en va de l’intérêt de tous. Ainsi, plus besoin de changer d’entreprise pour changer d’environnement : nos directeurs en CDI ne se lassent jamais.
« Je ne suis jamais resté autant de temps dans une société (le Groupe Référence) car chaque fois que j’avais besoin de changer, j’ai pu changer »
Premier collaborateur en CDI du Groupe, lors de son discours de départ en retraite
3/ Nos directeurs sont toujours en binôme, sans subir de management invasif
Au sein du Groupe Référence, le Management Petit Chef, ne peut pas exister. Dans notre organisation, l’essentiel du management opérationnel est fonctionnel. Pour chaque client, le Directeur en Temps Partagé Augmenté en CDI intervient en binôme avec un Responsable satisfaction client, dont le rôle est de challenger le directeur, plutôt que de lui imposer des choix. Il est le coach et l’aiguilleur du directeur pour l’aider à prendre du recul.
4/ Engagement, exigence mutuelle, performance collective, plaisir : des valeurs incarnées
Ce socle de valeurs est fondamental. Fruit de l’intelligence collective, il est partagé par tous nos collaborateurs et revisité régulièrement. Par essence, ces valeurs sont au-dessus du lien hiérarchique, elles sont le fil conducteur de nos actions et de nos comportements. Elles constituent un contrat moral entre tous.
5/ 190 jours travaillés par an, pour plus d’équilibre pro et perso
Trouver le juste équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle est le plus difficile à établir, tant il dépend de la façon qu’a chacun de vivre son engagement au regard de ses contraintes. Nous avons fixé un objectif à nos directeurs en contrat CDI : travailler 190 jours par an pour les clients, avec des modalités de primes variables qui n’incitent pas à travailler plus. Cela laisse 28 jours par an pour développer ses expertises, prendre du recul, participer à la vie de l’équipe, absorber des missions qui n’ont pas pu être terminées, cela, sans déborder des plages de travail normales. Voilà de quoi trouver un équilibre sain, pour travailler en s’épanouissant.
Alors, en conclusion, freelance ou CDI ?
Vous l’avez compris, au sein du Groupe Référence, il faut bon travailler en CDI, comme nous le disent nos salariés : les aspirations fondamentales des directeurs sont prises en compte, intégrées dans des process, outillées et donc mieux garanties qu’en étant freelance.
Nos collaborateurs intègrent un projet collectif, une équipe riche et solidaire. Vous êtes en poste, en contrat CDI et souhaitez expérimenter une nouvelle manière de travailler ? Vous êtes indépendant en freelance et recherchez un peu plus de sécurité tout en conservant votre autonomie ?
Rejoignez le Groupe Référence et menez des missions très diverses, conjuguant la liberté, le challenge, l’excellence et la convivialité
Avec le Groupe Référence, augmentez vos fonctions vitales !